Tomate Noire
Amarante à Grains
Amarante à Grains Plainsman
Ref : G0113
- Amaranthus hypochondriacus x hybridus
Sachet de 500 graines
Cette variété peut atteindre 1,6 m de hauteur et produit de magnifiques panicules à port très caractéristique, avec des épis floraux totalement érigés et de couleur rouge bordeaux étincelant.
Ces produits peuvent aussi vous interesser
L’amarante, la reine du sans Gluten !
L’amarante, très connue pour ses qualités ornementales et dissidentes (elle a causé, la coquine, la perte de milliards de dollars à l’agro-industrie US en développant des gènes, sans la moindre gêne, de résistance au glyphosate), est une source d’alimentation inégalable. Ses feuilles — pour l’amarante à feuilles — et ses graines — pour l’amarante à graines — sont comestibles et offrent de nombreux nutriments. Ses graines contiennent, par exemple, des mucilages bénéfiques au transit intestinal. Également très riches en protéines, en vitamines du groupe B (B6, folates ou B9 et acide pantothénique ou B5) et en minéraux (calcium, magnésium, fer, phosphore, potassium, cuivre, manganèse et sélénium), les graines d’amarante possèdent également le gros avantage de ne pas contenir la moindre trace de Gluten. Les feuilles, quant à elles, constituent une excellente source de carotène, de fer, de calcium, de protéine, de vitamine C et autres oligoéléments. À titre de comparaison, par exemple, les feuilles d’amarante contiennent trois fois plus de vitamine C, 10 fois plus de carotènes, 15 fois plus de fer, 40 fois plus de calcium que dans les tomates.
Cette plante fantastique est originaire des civilisations d’Amérique centrale et d’Amérique du sud. Les civilisations précolombiennes la cultivaient pour ses graines (consommées comme une céréale : grillées, bouillies, moulues...) et pour ses feuilles (consommées comme un légume vert). Les Mayas, les Aztèques et les Incas l’utilisaient, en plus de la consommer, pour les rites sacrés
en pépinière, en pleine terre
Semer clair directement en place lorsque le sol est bien réchauffé. Tasser légèrement et maintenir le substrat humide. Éclaircir sur le rang quand les plants portent 2 à 4 feuilles. Pour hâter la culture, semer en godet ou en caissette, sous abri bien lumineux. Repiquer, après les dernières gelées, dès lors que les plants atteignent le stade de 2 à 4 feuilles.
Mars, Avril, Mai
Avril, Mai, Juin
Juin, Juillet, Août, Septembre, Octobre
en pleine terre, en serre
ensoleillée
faible
tout type de sol
riche, frais, meuble
Amaranthus hypochondriacus x hybridus
mi-saison
500 graines
à grains
Rouge
De 120 à 160 cm
allongé
États-Unis
L’amarante, la reine du sans Gluten ! L’amarante, très connue pour ses qualités ornementales et dissidentes (elle a causé, la coquine, la perte de milliards de dollars à l’agro-industrie US en développant des gènes, sans la moindre gêne, de résistance au glyphosate), est une source d’alimentation inégalable. Ses feuilles — pour l’amarante à feuilles — et ses graines — pour l’amarante à graines — sont comestibles et offrent de nombreux nutriments. Ses graines contiennent, par exemple, des mucilages bénéfiques au transit intestinal. Également très riches en protéines, en vitamines du groupe B (B6, folates ou B9 et acide pantothénique ou B5) et en minéraux (calcium, magnésium, fer, phosphore, potassium, cuivre, manganèse et sélénium), les graines d’amarante possèdent également le gros avantage de ne pas contenir la moindre trace de Gluten. Les feuilles, quant à elles, constituent une excellente source de carotène, de fer, de calcium, de protéine, de vitamine C et autres oligoéléments. À titre de comparaison, par exemple, les feuilles d’amarante contiennent trois fois plus de vitamine C, 10 fois plus de carotènes, 15 fois plus de fer, 40 fois plus de calcium que dans les tomates. Cette plante fantastique est originaire des civilisations d’Amérique centrale et d’Amérique du sud. Les civilisations précolombiennes la cultivaient pour ses graines (consommées comme une céréale : grillées, bouillies, moulues...) et pour ses feuilles (consommées comme un légume vert). Les Mayas, les Aztèques et les Incas l’utilisaient, en plus de la consommer, pour les rites sacrés
